Orléans. Quartier Saint-Laurent. A quelques pas de mon nouvel atelier, le parc Anjorrant. J'aime à m'y égarer. Non pas qu'il soit immense. Il est à peine plus grand que mon jardin du Perche à La Nicoletière. Mais il possède une âme et nous nous comprenons. Dans le silence ponctué par l'appel des oiseaux, nous nous sommes découvert des amitiés communes. Il me parle du chant de la terre. Je lui parle du chant des étoiles. Nous comparons notre mélancolie. Et si le ciel est bleu nous échangeons la joie qui nous transporte.
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