lundi 23 février 2015

Ni peindre, ni marcher. Pianoter.

Dimanche soir, marche autour de Bellême avant la tombée de la nuit. Temps sec, ciel gris, air vif, presque piquant. J'ai rencontré un chien, trois vaches et cinq corbeaux, deux chevaux percherons. Les oiseaux se cachaient à mon approche. Il est vrai que j'avais piètre allure, descendu brusquement de l'Atelier Perché, le pantalon maculé de couleurs et la tignasse hirsute. J'ai photographié les chevaux pour mon ami Capton. Photo ratée ! On dirait l'oeuvre d'un peintre tachiste souffrant d'une cataracte aiguë ! Aujourd'hui, entre peindre et marcher, j'hésite. Et pour ne pas trancher je bricole  au piano une sonatine de Clémenti.

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